Notre périple "Banglindien" se termine ce soir, dernière soirée à l'hôtel avant de rentrer à Paris. Encore un beau voyage effectué sous la chaleur du sous continent indien ! Dhaka et sa chaleur écrasante, Delhi et sa chaleur étouffante et la campagne indienne et sa chaleur humidifiante... En pleine mousson, nous aurons eu droit à 5 minutes de pluie seulement. A croire que les dieux étaient avec nous, ou pas. Pendant notre première semaine à Dhaka, il pleuvait à Delhi, et à notre arrivée à Delhi, il s'est mis à pleuvoir, comme jamais à Dhaka, et nous, toujours au sec, sous un soleil de plomb à ne pas faire danser un acteur de bollywood !
On se croirait tantôt dans un hammam, tantôt dans un sauna. Moi qui avait prévu une housse caméra, des housses étanches pour les micros, des bottes en plastiques et autres ponchos... Tout est resté au sec dans le fond du flycase. Un tournage entre les gouttes de pluie... mais pas de sueurs...
Bienvenue sur le blog
Bonne Année !
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mercredi 29 juillet 2009
Work in progress
Work in progress pourrait être le titre de mon blog ces derniers jours car je n'ai malheureusement pas trop eu le temps de le mettre à jour... Mais, aujourd'hui ce sera plutôt le nom donné à New Delhi: "work in progress city". Il faut dire que Delhi est en construction partout: des routes, des batiments et le métro qui s'étend. Dans un an, Delhi doit être prête pour les commonwealth games 2010. Je ne sais pas si les indiens seront prêt vu le travail qu'il reste à fournir et je ne sais pas si le monde sera prêt pour ces mini jeux olympiques de l'ex empire britannique, car, franchement, on s'en fout un peu, non?
Alors, pour le moment, ça construit, ça détruit, ça s'organise... La ville est un immense chantier. Delhi est devenue un labyrinthe de palissades "work in progress", les ouvriers s'activent sous la chaleur écrasante. Les journaux relatent les accidents de chantiers. Les poussières du béton donnent un voile sur la ville qui continue de grandir à vue d'oeil. Pas facile d'être un des pays les plus peuplés au monde. Pas facile d'être une mégapole en mutation...
Alors, pour le moment, ça construit, ça détruit, ça s'organise... La ville est un immense chantier. Delhi est devenue un labyrinthe de palissades "work in progress", les ouvriers s'activent sous la chaleur écrasante. Les journaux relatent les accidents de chantiers. Les poussières du béton donnent un voile sur la ville qui continue de grandir à vue d'oeil. Pas facile d'être un des pays les plus peuplés au monde. Pas facile d'être une mégapole en mutation...
vendredi 24 juillet 2009
Cérémonie de tournage
Hier, nous sommes arrivés à New Delhi pour dix jours en Inde à la découverte des petites histoires incroyables de ce pays. Et je dois dire que notre premier jour a été particulièrement intense. Me voilà au milieu des policiers de New Delhi, dans une brigade un peu spéciale, courant dans les rues à la chasse... aux vaches ! De véritables cow boys dont le but est d'attraper toutes les vaches (animal sacré en Inde) afin de libérer la circulation et d'éviter les éventuelles épidémies... c'est assez sportif, parfois un peu dangereux, gare aux cornes, et pas toujours bien vu par la population locale. Il faut dire que les propriétaires des vaches se retrouvent vite sans leur animal de compagnie... qui est aussi, pour la plupart, leur plus précieux bien...
Plus étrange encore est la cérémonie qui nous a été réservée ce matin... Avant de tourner le sujet, direction la grande salle où nous attendent quelques centaines de personnes, femmes d'un côté, hommes de l'autre. Notre hôte nous invite sur l'estrade, la musique retentie, les mains se joignent et la prière peut commencer. Tout le monde chante, et nous, sommes là, devant ces centaines d'Indiens chantants. Puis c'est l'heure des discours qui nous accueillent et nous souhaitent la bienvenue. Le rituel se termine par une remise officielle d'un collier de fleurs séchées et d'une toile de jute sur les épaules... Après cette cérémonie d'une quinzaine de minutes, le tournage peut enfin commencer... "incredible India" disait la publicité... vraiment "incredible"...
Plus étrange encore est la cérémonie qui nous a été réservée ce matin... Avant de tourner le sujet, direction la grande salle où nous attendent quelques centaines de personnes, femmes d'un côté, hommes de l'autre. Notre hôte nous invite sur l'estrade, la musique retentie, les mains se joignent et la prière peut commencer. Tout le monde chante, et nous, sommes là, devant ces centaines d'Indiens chantants. Puis c'est l'heure des discours qui nous accueillent et nous souhaitent la bienvenue. Le rituel se termine par une remise officielle d'un collier de fleurs séchées et d'une toile de jute sur les épaules... Après cette cérémonie d'une quinzaine de minutes, le tournage peut enfin commencer... "incredible India" disait la publicité... vraiment "incredible"...
jeudi 23 juillet 2009
ça tourne pas toujours rond...
Voilà, c'est déjà la fin de notre séjour à Dhaka, au Bangladesh... Pas l'ombre d'une goûte de pluie, on est loin des clichés... Mais quelques petites découvertes à faire le long des routes. Et une des grandes spécialités de Dhaka, c'est le rond point... décoré.
Ici, pas un carrefour sans sa "sculpture", son avion des années 60 ou sa fontaine sans eau... Pas un rond point sans ses animaux en béton, sans ses fleurs en métal et sans son drapeau décousu... Ces rond points sont sans doute là pour décorer et rendre la ville un peu "plus belle", ils forment en tous cas des points de repère cependant pas toujours bien identifiables... mais bon, c'est très pratique! Mais ces rond points ont aussi une particularité: chaque oeuvre est sponsorisée, pratique pour faire sa pub et entretenir les sculptures les plus folles... Et pour celles qui n'auraient pas trouver de mécène: c'est l'abandon !
Ici, pas un carrefour sans sa "sculpture", son avion des années 60 ou sa fontaine sans eau... Pas un rond point sans ses animaux en béton, sans ses fleurs en métal et sans son drapeau décousu... Ces rond points sont sans doute là pour décorer et rendre la ville un peu "plus belle", ils forment en tous cas des points de repère cependant pas toujours bien identifiables... mais bon, c'est très pratique! Mais ces rond points ont aussi une particularité: chaque oeuvre est sponsorisée, pratique pour faire sa pub et entretenir les sculptures les plus folles... Et pour celles qui n'auraient pas trouver de mécène: c'est l'abandon !
Le paradis des sourires...
Le Bangladesh est un des pays les plus pauvres du monde... jusque là je ne vous apprends rien... Pourtant, bien qu'on sente la misère telle que nous, occidentaux, l'imaginons, on ne peut pas dire que les Bangladeshis soient pauvres en sourires et en bonne humeur... c'est d'ailleurs souvent comme ça dans de nombreux pays du monde: plus on est "riche" et plus on perd son sourire... Alors, oui, nous avons rencontrés énormément d'enfants, d'adolescents et d'adultes souriants. Je ne dirais pas qu'ils sont heureux mais en tout cas, ils en ont l'air ! Et tous les échanges que nous avons, nous confortent: les Bangladeshis sont joyeux !
La situation du pays est à des années lumières d'être paradisiaque, leur quotidien ne l'est évidemment pas plus mais quelques petites surprises nous ont réjouis. Il y a, par exemple, le long de la route de l'aéroport, de nombreuses bicoques avec vue imprenable sur la rivière, ses bateaux usines et autres objets flottant non identifiés. Ces petites bicoques sont à louer pour quelques heures afin de se retrouver en très petit comité loin du brouhaha de la ville mais à une dizaine de mètres de la route... On y vient en couple ou entre amis. Les cabanes sont sur pilotis, fabriquées en tôles et en bambous, à peine cachées, on les distingue depuis la route entre deux palmiers et un vendeur de chips. Bon, on est loin des chambres paradisiaques sur pilotis des maldives mais pourtant ce petit bout de paradis invite à l'évasion pour qui a de l'imagination, et surtout pour qui a su rester souriant...
La situation du pays est à des années lumières d'être paradisiaque, leur quotidien ne l'est évidemment pas plus mais quelques petites surprises nous ont réjouis. Il y a, par exemple, le long de la route de l'aéroport, de nombreuses bicoques avec vue imprenable sur la rivière, ses bateaux usines et autres objets flottant non identifiés. Ces petites bicoques sont à louer pour quelques heures afin de se retrouver en très petit comité loin du brouhaha de la ville mais à une dizaine de mètres de la route... On y vient en couple ou entre amis. Les cabanes sont sur pilotis, fabriquées en tôles et en bambous, à peine cachées, on les distingue depuis la route entre deux palmiers et un vendeur de chips. Bon, on est loin des chambres paradisiaques sur pilotis des maldives mais pourtant ce petit bout de paradis invite à l'évasion pour qui a de l'imagination, et surtout pour qui a su rester souriant...
mercredi 22 juillet 2009
Quand le Bangla bouge...
La vie de "globe-trotteur" n'est pas toujours aussi facile qu'on pourrait le penser... quoi ? vous n'êtes pas d'accord ?
Bon, ok, j'ai compris, c'est vrai qu'en fait c'est très excitant ! ça change du train-train quotidien, ici, on dirait plutôt ça change "rickshaw-rickshaw" quotidien. Car il faut bien l'admettre voyager, c'est prendre plusieurs moyens de transport et s'il y a bien un pays où on peut passer du coq à l'âne (pardon, du train à l'autorickshaw), c'est bien le Bangladesh. On a pu tester différents moyen de locomotion...
Premier jour, histoire de se mettre à l'eau, je teste la barque: très pratique pour passer d'une rive à l'autre, la barque permet de se déplacer sans soucis du moment qu'on n'est pas à contre courant... en plus, on y mets ce qu'on veut à l'intérieur: colis, fruits, vaches, enfants, tout y passe !
Je continue avec le fameux rickshaw: ça fait mal au cul et il faut se tenir car on risque la culbute à chaque trou dans la route... c'est à dire souvent... Mais, la moins bonne place est quand même pour le conducteur obligé de pédaler et slalomer entre les voitures... En revanche, pas besoin de freiner, on laisse aller le cycle à trois roues s'enfoncer dans l'arrière du véhicule qui nous précède et le tour est jouer... arrêt garanti !
L'autre moyen de locomotion prisé des Bangladeshis est le train... A l'intérieur, la chaleur est écrasante, la place est précieuse, il faut dire que les trains sont souvent bondés alors, le mieux, c'est de monter sur le toit de la gare et de prendre le train par le dessus... c'est à dire à même le toit. Nous voilà parti à travers Dhaka, cheveux au vent, entourés d'enfants. Les avantages: vue imprenable, voyage gratuit et climatisation intégrée, en revanche, il faut faire attention aux branches capricieuses et à la glissade, synonyme de fin du voyage !
Bien sûr, côté véhicule motorisé, j'ai aussi pu tester l'autorickshaw. Comme son cousin à pédales, l'autorickshaw possède trois roues mais est équipé, en plus, d'un petit moteur. L'autorickshaw est relativement pratique car il va plus vite si on excepte les embouteillages... En revanche, à pleine vitesse, on oubliera les discussions, le moteur étant omniprésent...
Je rajouterai à la liste, la grande barque à moteur quasi indispensable au Bangladesh, les bus que l'on prend en route et bien sûr les différentes variantes de cycles... une, deux, trois ou quatre roues ! Le Bangladesh est un pays en mouvement... perpétuel !
Bon, ok, j'ai compris, c'est vrai qu'en fait c'est très excitant ! ça change du train-train quotidien, ici, on dirait plutôt ça change "rickshaw-rickshaw" quotidien. Car il faut bien l'admettre voyager, c'est prendre plusieurs moyens de transport et s'il y a bien un pays où on peut passer du coq à l'âne (pardon, du train à l'autorickshaw), c'est bien le Bangladesh. On a pu tester différents moyen de locomotion...
Premier jour, histoire de se mettre à l'eau, je teste la barque: très pratique pour passer d'une rive à l'autre, la barque permet de se déplacer sans soucis du moment qu'on n'est pas à contre courant... en plus, on y mets ce qu'on veut à l'intérieur: colis, fruits, vaches, enfants, tout y passe !
Je continue avec le fameux rickshaw: ça fait mal au cul et il faut se tenir car on risque la culbute à chaque trou dans la route... c'est à dire souvent... Mais, la moins bonne place est quand même pour le conducteur obligé de pédaler et slalomer entre les voitures... En revanche, pas besoin de freiner, on laisse aller le cycle à trois roues s'enfoncer dans l'arrière du véhicule qui nous précède et le tour est jouer... arrêt garanti !
L'autre moyen de locomotion prisé des Bangladeshis est le train... A l'intérieur, la chaleur est écrasante, la place est précieuse, il faut dire que les trains sont souvent bondés alors, le mieux, c'est de monter sur le toit de la gare et de prendre le train par le dessus... c'est à dire à même le toit. Nous voilà parti à travers Dhaka, cheveux au vent, entourés d'enfants. Les avantages: vue imprenable, voyage gratuit et climatisation intégrée, en revanche, il faut faire attention aux branches capricieuses et à la glissade, synonyme de fin du voyage !
Bien sûr, côté véhicule motorisé, j'ai aussi pu tester l'autorickshaw. Comme son cousin à pédales, l'autorickshaw possède trois roues mais est équipé, en plus, d'un petit moteur. L'autorickshaw est relativement pratique car il va plus vite si on excepte les embouteillages... En revanche, à pleine vitesse, on oubliera les discussions, le moteur étant omniprésent...
Je rajouterai à la liste, la grande barque à moteur quasi indispensable au Bangladesh, les bus que l'on prend en route et bien sûr les différentes variantes de cycles... une, deux, trois ou quatre roues ! Le Bangladesh est un pays en mouvement... perpétuel !
vendredi 17 juillet 2009
jeudi 16 juillet 2009
Eau es-tu ?
M'aurait-on menti à propos du Bangaldesh ? Sur internet, j'avais trouvé ça: "Le Bangladesh a un climat de mousson subtropicale caractérisé par de larges variations saisonnières, des précipitations, des températures chaudes modérément, et un taux d'humidité élevé, un climat frais lors de la saison des pluies de mousson de juin à octobre, 400mm d'eau en moyenne pour juillet sous une température de 28°", voilà ce qui était annoncé...
Mais depuis notre arrivée, nous attendons, avec impatience, la pluie... Pas une averse (ou presque) depuis 7 jours à Dhaka ! pas trace d'une flaque d'eau... En revanche, le thermomètre monte haut, très haut, trop haut même, et il devient difficile de tourner de 12h à 16h. Être dans le pays des inondations, de l'eau à perte de vue et autres cyclones catastrophiques sans en voir le bout d'une goutte d'eau... étrange... On patiente, on attend et demain sera, peut-être, un jour pluvieux... C'est bien la première fois que j'attends la pluie avec impatience...
Mais depuis notre arrivée, nous attendons, avec impatience, la pluie... Pas une averse (ou presque) depuis 7 jours à Dhaka ! pas trace d'une flaque d'eau... En revanche, le thermomètre monte haut, très haut, trop haut même, et il devient difficile de tourner de 12h à 16h. Être dans le pays des inondations, de l'eau à perte de vue et autres cyclones catastrophiques sans en voir le bout d'une goutte d'eau... étrange... On patiente, on attend et demain sera, peut-être, un jour pluvieux... C'est bien la première fois que j'attends la pluie avec impatience...
Dhaka, klaxon city
Il n'y a pas une ville au monde où le trafic routier ne soit pas un problème, pas une ville où les embouteillages sont quotidiens... Mais Dhaka, capitale du Bangladesh, est peut-être une de celles où le trafic se fait le plus entendre... Ici, le code de la route n'est pas la priorité des automobilistes et autres conducteurs de rickshaws. D'ailleurs, il y a biens des feux tricolores mais ils sont davantage présents pour la déco que pour réguler le trafic. Les rond-points, décorés de sculptures sponsorisées permettent d'identifier les quartiers et carrefours mais ne sont pas franchement toujours utilisés comme il se doit. Certes, ça tourne autour mais dans tous les sens. Et c'est vrai, que lorsqu'on se retrouve au milieu des voitures, il vaut mieux être bien accroché !
Alors, pour se faire une place dans les rues et boulevards, il faut savoir utiliser du klaxon... Plus il est fort et plus vous aurez une chance d'être prioritaire et de passer. Alors, les rickshaws et leurs petites sonnettes font pâle figure à côté des "cornes de brume" des camions... Un coup de klaxon et il vous est possible d'accélérer pour quelques centimètres... Un autre coup de sonnette et vous changez de "file"... Encore un coup pour le fun et un dernier pour signaler votre présence: oreilles sensibles s'abstenir, le klaxon n'est ici pas une option mais une manière de vivre...
A bon entendeur...
Alors, pour se faire une place dans les rues et boulevards, il faut savoir utiliser du klaxon... Plus il est fort et plus vous aurez une chance d'être prioritaire et de passer. Alors, les rickshaws et leurs petites sonnettes font pâle figure à côté des "cornes de brume" des camions... Un coup de klaxon et il vous est possible d'accélérer pour quelques centimètres... Un autre coup de sonnette et vous changez de "file"... Encore un coup pour le fun et un dernier pour signaler votre présence: oreilles sensibles s'abstenir, le klaxon n'est ici pas une option mais une manière de vivre...
A bon entendeur...
mardi 14 juillet 2009
lundi 13 juillet 2009
dimanche 12 juillet 2009
Dhaka tout oublier...
Chaque voyage ne peut commencer aussi bien que les précédents... Chaque voyage doit avoir sa particularité... son anecdote à raconter à notre retour, voire même avant, la preuve.
Nous voici donc bien arrivé à Dhaka, capitale du Bangladesh, mais sans bagages... bon, les boxers et la brosse à dent ça passe encore, mais le trépied, les batteries, les chargeurs, les piles, les disques et les micros HF, là, ça coince... un tournage qui commence comme ça, et bien, ne peut pas vraiment commencer d'ailleurs...
Nous voilà transporter d'officiels en sous fifres à la recherche de nos bagages ou de la moindre information à leur sujet... A la question "who's in charge?", la réponse la plus évidente est "nobody"...
Voilà qu'Air France perd la trace de quatre bagages... Le triangle des bermudes et Harry Potter n'y sont pour rien, pourtant nos valises ont bel et bien disparu... Aujourd'hui, je suis retourné à l'aéroport pensant avoir éventuellement retrouvé la trace de nos bagages. Après un passage par le bureau du responsable, qui préfère HBO à mes requêtes, je me dirige vers le chef du "bagage claim"... Mais tel Gérard Majax déguisé en Garcimore, le chef me propose un rapide "have a look" autour de lui, malheureusement, il ne maîtrise pas très bien la magie, et il n'y a rien qui ressemble de près et même de très loin à nos bagages...
Retour à l'hôtel. Achat de quelques sous-vêtements à défaut de souvenirs, et attente de nouvelles de la part d'Air France...
No news means good news ???
to be continued...
Nous voici donc bien arrivé à Dhaka, capitale du Bangladesh, mais sans bagages... bon, les boxers et la brosse à dent ça passe encore, mais le trépied, les batteries, les chargeurs, les piles, les disques et les micros HF, là, ça coince... un tournage qui commence comme ça, et bien, ne peut pas vraiment commencer d'ailleurs...
Nous voilà transporter d'officiels en sous fifres à la recherche de nos bagages ou de la moindre information à leur sujet... A la question "who's in charge?", la réponse la plus évidente est "nobody"...
Voilà qu'Air France perd la trace de quatre bagages... Le triangle des bermudes et Harry Potter n'y sont pour rien, pourtant nos valises ont bel et bien disparu... Aujourd'hui, je suis retourné à l'aéroport pensant avoir éventuellement retrouvé la trace de nos bagages. Après un passage par le bureau du responsable, qui préfère HBO à mes requêtes, je me dirige vers le chef du "bagage claim"... Mais tel Gérard Majax déguisé en Garcimore, le chef me propose un rapide "have a look" autour de lui, malheureusement, il ne maîtrise pas très bien la magie, et il n'y a rien qui ressemble de près et même de très loin à nos bagages...
Retour à l'hôtel. Achat de quelques sous-vêtements à défaut de souvenirs, et attente de nouvelles de la part d'Air France...
No news means good news ???
to be continued...
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